Je n’arrive pas à être sereine par rapport à l’avenir. Le problème, c’est cet homme, surtout… Enfin, je ne sais pas trop comment définir notre relation
Il ne s’est rien passé parce que j’avais peur. Dès que je l’ai rencontré, il m’a insupportée. C’était un truc presque épidermique.
Tout de suite, j’ai vu les red flags et je me suis dit, « Leyla, fais attention. Lui, il faut que tu t’en méfies. »
Ça se voyait à des kilomètres que ce mec était un bourreau des cœurs habitué à faire souffrir les femmes.
Hyper narcissique… Un mec qui n’est pas habitué à ce qu’on lui résiste, quoi. Qui a l’habitude ‘avoir ce qu’il veut.
Malgré ça, il avait un charme… magnétique de malade.
En plus, je n’avais même pas spécialement envie de le connaître. Ce n’est pas le genre d’homme qu’on peut aimer si on gratte un peu la surface.
Il nous attire parce qu’il représente une sorte de fantasme. Mais dès qu’on soulève le masque… tout s’écroule.
Pour pouvoir construire une relation saine et durable, Il faut trouver un partenaire avec qui on partage des objectifs communs, des rêves, des désirs similaires.
Moi, j’ai aucun point commun avec cet homme. Tout nous oppose.
Dès le début, dès le premier jour, j’ai compris à quel point cet homme avait une aura dangereuse.
Marié trois fois, divorcé trois fois.
Et ses trois ex sont encore dans sa vie d’une manière ou d’une autre. C’est fou ça, aucune n’a tourné la page ! Même après des années, elles sont incapables de se détacher de lui.
Cet homme a un pouvoir d’attraction effrayant.
Je ne veux pas être une de ces femmes. Une de plus sur son tableau de chasse.
On ne peut pas garder éternellement nos lunettes roses. Au bout d’un Et parfois, j’ai l’impression d’être folle parce que, malgré tout, j’ai envie de céder.
Les hommes comme ça savent comment attirer leurs victimes. Ils tendent leurs filets et sans qu’on s’en aperçoive… hop, on finit par tomber dedans !
Vous avez beau vous débattre, résister… C’est plus fort que vous. C’est comme… un envoûtement. Moment, la magie s’estompe. On finit par voir l’autre sous son vrai jour.
On court après une illusion. Au fond, on sait très bien qu’on fonce droit dans le mur, mais on ne veut pas se l’avouer.
On a tellement peur d’être seul qu’on se force à continuer la relation.
Et c’est comme ça que ça devient une relation « à long-terme ». Tu parles, on devrait plutôt appeler ça une mort à petit feu…